Research Catalogue

This exposition is a guide for students and teachers alike on the methodical approach of the subject Aural Skills and Improvisation.

Is there a method to die?

 In the spring of 2009, I attended a course in aesthetic-based qualitative research at Stockholm University. My mother was becoming very weak at the time. As I set out to write on method and methodology within the course, she had to go to hospital for some days during which I kept her company as much as I could. Tests didn't prove anything wrong with her though, and she was sent back home. When she was lifted from the stretcher and gently put her back in her own bed by the transport team, she looked around her and smiled. From the well-known paintings on her walls and the books in her bookshelves, she turned her attention to at me. Still smiling, she looked into my eyes, saying: "And now begins a new and exciting phase in our lives."

Less than a month later, she deceased. 

 The day after her death, I took one of her carpets on the back of my bike and went to the shore of a lake to clean it, the way she used to do it when I was a child. Out of this situation, the question emerged. Absurd though it seemed, it echoed through my further reading, listening and thinking.

This study sets out from an artistic workshop designed to investigate light, colour and spatiality. During the original event, a number of participants joined to collaborate by means of painting, dialogue and movement. From a presentation of the workshop (as determined in time and space), the text argues that the character of an artwork is essentially unfinished; an ongoing ”truth process”. Adopting lines of reasoning from philosophers Vilém Flusser and Theodor Adorno, I gain a first understanding of how the artwork could be reconstituted within the limits of a scientific essay. Once more turning to the workshop's course of events, I find experiences within the actual situation relating to abstract concepts such as ”spirit”, ”quality” and ”freedom”. Next, the text pays heed to Ludwig Wittgenstein's observation that human knowledge is gained and mediated by language-games of various kinds. The selected concepts are consequently tried out in expanded ”studio talks”, involving artists from different fields such as painter Matts Leiderstam, writer Robert Pirsig and sculptor Joseph Beuys. The operation allows me to single out some specific conditions pertaining to artistic dialogue, from which I seek transitions to philosophical discourse. The text briefly reviews three contemporary, art-based projects offering such discursive exchange: haptiska blickar, Thinking Through Painting and Freikörperkultur. Against this backdrop, I seek to articulate an understanding of knowledge-making which embraces artistically as well as philosophically grounded practises. I find support from philosophers John Dewey and Hans Larsson – Dewey characterizing the esthetic and intellectual faculties as complementary movements within the human mind, and Larsson propounding intuition as the unifying and superior form of thinking. Assenting to their views, I conclusively suggest methodical introspection as another field for discursive interchange between art and science.

Résumé: Cet article est un détour cognitif-psychanalytique autour des théories, hypothèses et des revendications cognitives, des idéologies, et des leurs conventions ou réfutations. Bien qu’il soit davantage rencontré dans les sciences humaines, la mode de structuration des événements, des happenings, est également un concept significatif dans les sciences cognitives. Les sciences cognitives conçoivent les fictions des realite faire des données du sens commun et postulats qui décident des problèmes dans leur conditionnement même. Sans doute apparaît-il d’emblée que les cadres dans lesquels les sciences humaines classent les phénomènes en sensations, perceptions, images, croyances, fonctions et travaillés logiques, jugements, etc., sont empruntés comme tels au travail de siècles de philosophie. Loin d’avoir été forgés pour une conception objective de la réalité humaine, ces cadres ne sont que les produits de la destruction abstraite où se tracent les vicissitudes d’un effort spécifique, qui pousse l’homme à chercher la confiance, la vérité, la conscience de soi et l’univers. Une confiance qui est transcendante dans sa position, et qui le reste donc dans la forme, même lorsque le philosophe en nie l'existence. Les tendances à une confiance absolue dans les explications naturalistes des phénomènes culturellement conditionnés exigent une un encadrer l'appropriation cognitive des concepts scientifiques. Dans les chapitres consécutives, ce livre critiques d'appropriations des concepts darwinienne dans les discours libérale détourne le darwinisme scientifique dans l’idée de s’appropriation moins avec ou aux technologies avancées que de les adapter aux valeurs idéologiques libérales croissantes qui elles- mêmes sont devenues plus autoritaires dans leurs règles non écrites d’entrepreneuriat, d’auto-évaluation et de développement individuel, particulièrement l’esprit humaine.

Le dessein intelligent est le mot à la mode des créationnistes des années 2000 qui concerne l’interprétation idéologique de la machine et des données. Ici, la question est celle des ressemblances religieuses prescrites, pour lesquelles le débat sur le dessein intelligent emprunte aux données non corporelles pour projeter des incorporations fictives à l’information, en présumant des mentales de similitude, sinon d’exactitude, qui pourraient donner lieu à une création religieuse prescrite.

Cet article s’appuie sur une approche psychanalytique et culturelle des idéologies et de l’économie-politique dans les constructions de vérité et les récits autour des lieux et des événements concernant les identités ethniques, religieuses et nationales, et propose une opinion interdisciplinaire sur les récits de vérité des psycho-réalités culturelles formées autour des parcs, des lieux monumentaux et des génocides en Turquie. Cette opinion porte sur le complexe, le concours du profane et du sacré, pour lequel l’article présente une interprétation détaillée du matériel/mondain et du religieux/au-delà. Les symptômes dans les lieux monumentaux en Turquie, parc culturel à Izmir et Parc Gezi et Sainte-Sophie à Istanbul, révèlent les mythes inhabituels encodés dans ces lieux, génocides, complexes et leurs liens avec les textes culturels d’aujourd’hui. Le réseau de la réalité informe les symptômes conscients et inconscients autour des parcs, des musées, des places ou des lieux monumentaux en Turquie et au-delà.